- Détails
Les parents d’élèves aubagnais sont en colère. Mobilisés depuis plus d’un mois contre la réforme de la restauration scolaire, ils ne veulent pas se laisser faire.
« On doit inscrire nos enfants entre le 1°juin et 17 juillet et donner à l’année les jours où ils mangeront à la cantine », expose une maman. « Or je reprends le travail en novembre et suis loin de connaître mon planning. »
Actuellement et dans le système mis au point par la municipalité précédente, c’était le matin même que les parents informaient les services si leur enfant déjeunait ou non à la cantine.
C’était au temps du service public et le système convenait à tous. Maintenant, la Ville veut mettre unilatéralement en place un système rigide et bureaucratique sous prétexte d’économie. Après les activités périscolaires payantes (1) entrainant l’exclusion des enfants les plus défavorisés, c’est une nouvelle attaque contre le pouvoir d’achat des parents !
La Ville dirigée par la coalition UMP- UDI demande aux parents de connaître leurs emplois du temps plusieurs trimestres à l’avance. Alors que nombreux parents ayant des emplois précaires ne savent pas leur programme de travail plus d'une semaine auparavant.
Malgré des aménagements de surface concédés par le Maire, les parents d’élèves estiment ne pas avoir été entendus. Une nouvelle mobilisation est donc prévue ce lundi 29 juin 2015.
Les communistes d’Aubagne sont aux côtés des parents dans leurs justes revendications pour le maintien du système en place.
(1) activités périscolaires gratuites dans les villes voisines de La Penne et de Roquevaire.
- Détails
Le premier ministre VALLS a fait passer sans vote ni discussions à l'Assemblée Nationale ce qu'il est convenu d'appeler la loi MACRON. Il a utilisé comme en première lecture l'article 49.3 de la Constitution. Les députés qui ne sont pas d'accord n'ont plus qu'à présenter des motions de censure du gouvernement pour essayer de refuser cette loi qui est un catalogue très complet élaboré par des avocats favorables aux thèses du MEDEF et rémunérés par lui. Sauf coup de théâtre improbable, le catalogue MACRON sera adopté.
Les médias officiels ou à la solde de la Finance n'ont vu dans ce pavé de plusieurs centaines de pages que le travail de nuit ou du dimanche et les misères faites à certaines professions, comme celles des notaires. En fait, dans la privatisation des aéroports, dans les attaques contre les prud’hommes, dans la concurrence mise en place entre les autocars et le train, dans tous les textes proposés par MACRON, rien ne doit échapper à la loi du marché capitaliste et à la concurrence !
Parmi les très nombreuses dispositions régressives de la loi MACRON, la mise en option du Code du travail est la cerise sur le gâteau. Plus de deux cents ans d'élaboration du Code du travail actuel pour faire respecter les salariés et leur donner une chance en cas de conflit avec leurs patrons vont être effacés en France. Les salariés seront poussés pour gagner du temps à conclure des accords amiables proposés par leurs employeurs; ce seront des accords extrajudiciaires ou des procédures participatives(1), les deux parties patrons et salariés utilisant des avocats qu'il faudra payer. Les conseillers prud’homaux, gratuits et accessibles aux salariés, seront mis à l'écart et feront tapisserie ! Toute cette "réforme" qui prétend accélérer les procédures n'est en fait qu'une mise entre parenthèses du Code du travail.
Sarkozy voulait simplifier le Code du travail, Hollande le met au placard !
En 2006, le premier ministre Dominique de Villepin avait lui aussi voulu imposer une loi, le CPE, à coup de 49.3. La pression de la rue avec des jeunes manifestants au premier rang avait empêché le président Chirac de promulguer la loi. Elle fut mise de côté pour ramener la paix sociale.
La montée du chômage en France est en grande partie due à la faiblesse de l'investissement dans l'économie. Les dividendes des actionnaires du CAC 40 explosent et poussent les possédants à spéculer. L'argent octroyé par le gouvernement aux entreprises, sans contrepartie ni contrôle, renforce la spéculation et non l'investissement. Comme le reconnaissent maintenant certains économistes du FMI l'accroissement des inégalités sociales en France comme ailleurs bloque la croissance. Il ne faut pas compter sur les banques privées qui ont le monopole de la création monétaire pour orienter les prêts vers l'investissement. Pour elles, l'investissement industriel ou artisanal est bien moins rentable que la vente de produits financiers. Dans l’intérêt de la population au contraire, il faudrait investir massivement, notamment dans les énergies renouvelables. C'est une question de survie pour l'humanité. (pensons à l’effet de serre)
Les communistes du pays d’Aubagne au sein du Front de Gauche vont continuer à expliquer la nocivité des mesures gouvernementales proposées par VALLS, mesures complètement inefficaces pour restaurer le plein emploi, ici et ailleurs.
La lutte de la population de notre territoire pour garder la gratuité des transports urbains et contre la mise en place de la métropole fait partie de la lutte contre la loi MACRON, la loi du fric-roi.
(1) cf le code de procédure civile actuel, article 2064 : le deuxième alinéa en est supprimé par cette loi Macron et le zapping du code du travail est ainsi rendu possible.
- Détails
Les communistes de notre secteur sont cordialement invité(e)s à participer à la demi-journée d’étude de la section d’Aubagne, qui aura lieu le :
samedi 13 juin 2015 de 13 h 30 à 18 heures au Cercle de l’Harmonie cours Beaumond
Cette assemblée sera suivie d'un apéritif convivial et fraternel.
Nous avons besoin de faire le point sur la vie du Parti dans notre territoire après les échecs électoraux successifs qui bouleversent la vie politique du pays tant sur le plan local que national. Les thèmes abordés :
1) Alternative au capitalisme, visée communiste. Nous sommes pour une 6ème République sociale et solidaire, contre l’actuelle république anti-démocratique, aux ordres des technocrates bruxellois et des multinationales.
2) Comment mieux faire vivre notre Parti : organisation, adhésions, formation, diffusion des idées communistes, actions à mener dans les médias. Adapter davantage notre organisation aux nécessités de la vie actuelle devient fondamental si nous voulons poursuivre notre combat contre le capitalisme avec le maximum d'efficacité. Il faut faire grandir dans la population la nécessité d'une société à visée communiste dans notre pays.
3) Le rassemblement populaire pour renverser le capitalisme, notre action au sein du Front de Gauche. Nous devons être conscient(e)s que capitalisme = chômage de masse, pauvreté aggravée, conflits meurtriers partout dans le monde.
Le PS au pouvoir applique les orientations libérales du Medef. Comment mieux organiser la mobilisation populaire et citoyenne contre la politique d’austérité et de concurrence de Hollande-Valls, relayée au plan local par la droite et l'extrême-droite ?
Soyons nombreux à faire partager nos idées, à enrichir le débat à l'intérieur de notre section et oeuvrer pour une action plus efficace!
- Détails
Voici le texte adressé au Conseil Municipal de la ville d'Aubagne, et à Mr le Maire:
Soutenez la MJC L'ESCALE !
Le 9 avril 2015, le Conseil municipal d'Aubagne a voté 80 000 € de moins (soit pratiquement 20%) pour la subvention directe de fonctionnement de la MJC. La municipalité avait annoncé à la MJC une baisse de sa subvention. Ce n'est pas une baisse qu'elle subit mais une coupe qui met en danger son avenir.
En conséquence :
- Diminution ou arrêt de la programmation,
- Augmentation des cotisations pour les ateliers
- Augmentation du tarif des spectacles
- Baisse conséquente des activités
- Des emplois en danger
- Une mission d'éducation populaire compromise
- ET le risque en fin d'année de la cessation des activités de la MJC.
L'année 2015 est bien entamée mais dès maintenant l'association doit avoir une visibilité pour 2016 afin d'engager les actions nécessaires à la poursuite de son activité.
La MJC fait partie du patrimoine d'Aubagne depuis plus de 40 ans, et rayonne bien au-delà du Garlaban. Plus que jamais elle compte sur votre soutien et sur celui de la ville. Soyez présents lors de son Assemblée Générale le 22 Mai à 18h30 et lors de la fête des adhérents le 13 juin dès 16h30 et signez la pétition.
La MJC L'ESCALE, c'est 3990 d'heures d'activités annuelles
- 550 adhérents
- 45 spectacles par an en moyenne avec l'accueil de 80 groupes de musique et compagnies de théâtre.
- Quasiment 6500 spectateurs par an
- 400 artistes accueillis chaque année
- 8 disciplines dispensées sur 19 ateliers
- 1 projet associatif décliné en 37 actions prioritaires
- 11 salariés permanents, 3 emplois aidés, 1 apprenti et 7 animateurs vacataires, 3 associations sous conventions d'activités
- 10 résidences de création par an
- près d'une trentaine de groupes enregistrés dans le studio chaque année
- 2 CD produits (compilation des groupes accompagnés, chants d'enfants de l'école Gaymard)
L'Escale fait partie des 16 LDMA (lieux de diffusion de musiques actuelles) reconnus et labélisés par la région PACA. Mais la MJC l'Escale c'est aussi près de 165 000 € réinvestis directement sur le territoire auprès de ses prestataires, fournisseurs, artistes, production...(hors salaires des permanents).
Signer la pétition en ligne ici.
- Détails
Le général De GAULLE, Chef de la France Libre réfugiée à Londres, donna à Jean MOULIN la mission de rassembler et d’unifier les mouvements clandestins qui menaient des actions de résistance contre l’armée allemande nazie et ses complices français.
Le 27 mai 1943 est créé le CNR, Conseil National de la Résistance. Il réunit la quasi-totalité des courants politiques français, à l’exception de l’extrême droite. La force qu’il représente permettra à la France de reprendre son rang de grande nation dans le monde, auprès des Alliés, ainsi que l’a dit le général De GAULLE.
Cet événement unique de l’histoire de notre pays aura une suite : le CNR se donnera quelques mois plus tard un programme intitulé “Les Jours Heureux”, avec deux objectifs : battre les envahisseurs et leurs complices français, et reconstruire la France dévastée. Ainsi seront mis en place les Services Publics (énergie, transports, information, banques, etc.), la protection des droits fondamentaux des habitants (emploi, éducation, loisirs, santé, logement, etc.).
Depuis 2013, la date du 27 mai est devenue, par un vote unanime du Parlement, la “Journée Nationale de la Résistance”. Une cérémonie au Monument aux Morts d’AUBAGNE, à 17h30, rappellera cette année encore la puissance historique de cet événement que certains voudraient jeter aux oubliettes.
D’autant que nous fêtons cette année les 70 ans de la Sécurité Sociale dont le CNR a posé les bases. Ce programme est le pilier de notre conception de société pour une justice sociale et solidaire mise à mal par les politiques actuelles.
Plus qu’une commémoration ce rendez-vous du 27 mai 2015 est un rappel pour la mémoire collective des fondements de notre système social et nous invite à les défendre et les améliorer.
Pour cela nos organisations répondant à l’invitation de l’ANACR, appellent toute la population à participer à cette célébration pour raviver les “Jours Heureux”
Premiers signataires :
Section d’Aubagne du Parti Communiste Français, Section d’Aubagne du Parti Socialiste, Union Locale CGT
- Détails
Pour comprendre le présent, il est utile de se souvenir du passé et de certains événements marquants de notre Histoire. Le 8 mai 1945, l'Allemagne nazie capitulait.
Avec la défaite totale du fascisme hitlérien, rendue possible par l'abnégation et la mort de millions de soldats et résistants, s'ouvrait une ère nouvelle pour le monde.
En France, il était possible d'appliquer le programme du Conseil National de la Résistance, élaboré par des communistes, des progressistes et des gaullistes ou résistants sans parti. Application rendue facile par le discrédit de nombreux capitalistes comme Renault pour n'en citer qu'un. Le poids politique des représentants du Capital après leur collaboration avec l'occupant n'avait rien de comparable avec celui qu'ils ont aujourd'hui où les médias font la part belle aux serviteurs de la Finance et à l'extrême droite.
La création de la Sécurité sociale dont nous fêterons en octobre les 70 ans, la mise en place du système de retraites par répartition, les nationalisations des secteurs clefs de l'économie, les comités d'entreprises, les lois sur la presse pour la libérer du joug de la Finance, etc., tous ces acquis que beaucoup trouvent naturels n'auraient pas existé sans la victoire sur les nazis, sans le 8 mai 1945!.
A Aubagne, les cérémonies prévues sont :
9 h 30 : Rassemblement au cimetière des Passons au carré des Goumiers et dépôt de gerbes du Maire et des élus.
10 h 00 : Départ du cortège de l'Hôtel de Ville et fleurissement de diverses plaques dont celle De Lattre de Tassigny au Bras d'or puis celle du 8 mai 1945 et enfin cérémonie au monument aux morts Cours Foch.
Il est important que le maximum de citoyens participe à ces cérémonies en souvenir de ceux dont le sacrifice et le courage ont rendu possible un monde meilleur et chez nous les 30 années dites glorieuses. Ce ne doit pas être seulement l'affaire d'anciens combattants et de leurs associations.
Le combat pour la liberté et le bien être des hommes est loin d'être terminé. Le premier mai dernier consacré à la défense des droits sociaux et au maintien de la Bourse du Travail dans notre ville a été un succès.
Il ne tient qu'à nous de confirmer et de réussir un grand 8 mai à Aubagne!.
- Détails
Cela ne va pas nous consoler, nous autres, Aubagnais ou habitants du pays d'Aubagne, d'apprendre que l'offensive contre les lieux où des salariés peuvent exercer leurs activités syndicales se généralise en France. A l'origine de ces attaques, on retrouve certaines municipalités principalement UMP, élues ou réélues en 2014.
Des actions sont engagées dans les villes de Nice, Salon de Provence, Le Blanc Mesnil, Chateauroux, Nemours, Villejuif, etc. par des édiles locaux qui essaient de déposséder leurs administrés d'espaces où les citoyens peuvent s'organiser ou se former. Ils veulent supprimer des locaux au service du public où les syndicats organisent des permanences juridiques pour défendre les salariés contre les décisions injustes ou arbitraires de certains employeurs.
On constate un certain partage des rôles entre les ministres du gouvernement libéral de Valls et ces municipalités de droite.
Les uns veulent diminuer les réactions contre leur politique antisociale. Sous les yeux bienveillants du MEDEF, le gouvernement "socialiste" s'acharne à coup de 49.3 à l'assemblée nationale à démolir ou à rendre optionnel le Code du travail : c'est la loi MACRON. Les lois REBSAMEN en cours d'examen au Parlement ( réduction des effectifs des délégués du personnel, des membres des CHSCT, etc.) vont, elles aussi, vers la diminution des droits des salariés.
Les autres s'attaquent à la résistance aux conséquences de la politique austéritaire des HOLLANDE, VALLS et consorts. Pour cela, ils essaient de démanteler les Bourses du travail, ils se débarrassent des fonctionnaires pas assez dociles, ils diminuent les subventions aux associations, etc.
A Aubagne, la mobilisation va s'amplifier contre ces agissements et le premier mai 2015 sera une bonne occasion de montrer la combativité du monde du travail.
Rassemblement citoyen à partir de 9 h 30 le premier mai cours Beaumond, manifestation des syndicats à partir de 10 h 30 et journée festive l'après midi.
Les communistes seront là comme les autres travailleurs pour manifester leur hostilité aux mesures prises à l'échelon gouvernemental et municipal et pour le maintien d'une Bourse du Travail à Aubagne.
Comme tous les ans à la fête des travailleurs, ils vous proposeront le muguet du premier mai , le muguet de la paix.
- Détails
Aucune surprise dans la présentation du budget primitif 2015 par la nouvelle majorité municipale UMP- UDI à Aubagne. Nous sommes dans la même ligne d'austérité que celle menée au plan national par Sarkozy et celle continuée par les libéraux (étiquetés socialistes) que sont Hollande et Valls. Moins d’argent pour les écoles, 11.5% de charges de fonctionnement en moins, diminution des principaux services à la population, associations au pain sec, etc.
Quant aux baisses d’impôts promises aux électeurs, on repassera.
Le seul événement intéressant a été avant la tenue du conseil municipal l’interpellation du maire d’Aubagne par des manifestants des syndicats CGT et FSU venus chercher des réponses aux diverses lettres, pétitions et demandes de rendez-vous envoyées en vain à la municipalité depuis trois mois au sujet de la Bourse du Travail.
Un rappel historique s’impose : en 1980, ayant besoin de locaux pour son personnel, la Ville d’Aubagne avait récupéré les espaces occupés par la Bourse du travail qui se trouvait alors boulevard Jean Jaurès, en face de la mairie actuelle.
En compensation, une nouvelle Bourse du travail avait été créée par la municipalité Garcin dans les locaux de l’ancien cinéma Lido situés Cours Beaumond. Ces locaux appartenant à l’association Cercle de l’Harmonie, il avait paru naturel et plus économique de conclure un bail renouvelable de 9 ans entre la municipalité et l’association propriétaire des lieux.
En janvier 2015, Gérard GAZAY dénonce ce bail par lettre au Cercle de l’Harmonie et ne propose rien en échange aux syndicats et associations qui y sont logés, refusant ainsi cyniquement d’assumer l’obligation morale des municipalités antérieures, dont celle pilotée par Edmond GARCIN.
Comme nous pouvons le lire dans La Marseillaise du samedi 11 avril 2015, c’est à la secrétaire de l’Union locale des syndicats CGT qu’il s’en est pris dans des termes peu respectueux.
Alors que la responsable syndicale déclarait :
« Nous ne pouvons laisser les droits des salariés bafoués de la sorte. La Bourse du travail est leur outil, leur espace de rencontres, d’organisation, de défense de leurs droits. Plus qu’un symbole, elle est un pilier pour le lien social, le lien intergénérationnel ».. -/- .. « Le budget de la Ville résulte de choix politiques et aujourd’hui la municipalité, par la rigueur budgétaire, tente de museler le monde du travail où la contestation grandit »
Le maire d’Aubagne répliquait :
« Soyez sérieuse cinq minutes.. arrêtez de jouer à la petite fille ! » lui lance alors Gérard GAZAY qui se voit contraint d’octroyer le rendez-vous qu’il avait refusé jusqu’alors à la dirigeante CGT.
Une réflexion qui a soulevé un tollé dans la salle.
L’association femmes solidaires le lendemain dans un communiqué de presse déclare :
« Ne vous en déplaise, Monsieur le Maire, la secrétaire de l’Union locale CGT est une femme. Son combat, son engagement à la tête d’une centrale syndicale, ce n’est pas un caprice. Vous venez de nous faire la démonstration qu’il y a du travail dans cette ville pour que soit reconnue la place des femmes aux postes de responsabilités »
Commentaire : l’autoritarisme, le mépris et maintenant le sexisme font bon ménage chez celui qui se prétendait le maire de tous les Aubagnais.
Il appartient à tous les citoyens de notre ville de dénoncer de tels agissements et de le faire savoir autour d’eux jusqu’à ce que le bon sens et la responsabilité l’emportent.
Le premier mai sera une date importante et une occasion de le faire savoir à nos gouvernants. Les communistes seront naturellement présents à ce rendez-vous contre l’austérité et l’autoritarisme.
Ecrit et mis en ligne par l'administrateur du site.