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PCF Aubagne - La Penne - Cuges - Gémenos PCF Aubagne - La Penne - Cuges - Gémenos Le site du PCF d'Aubagne et sa région

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Dans le cadre de la campagne pour les élections régionales de mars prochain, nous publions dans nos colonnes les témoignages d'habitant-e-s d'Aubagne et des environs.

Aujourd'hui, Colette Molina, de la Cité du Charrel, nous explique ses raisons de voter pour le Front de gauche.

« Voici pourquoi je vote POUR LE FRONT DE GAUCHE : depuis peu, je suis une retraitée avec un minimum de 663 € par mois pour 40 ans de service. Etant militante communiste, je sais ce que c’est d’être « sur le Front » : se battre pour la retraite à 60 ans, avec un minimum de 1 600 € mensuel , se battre pour l’Education, la Santé, les hôpitaux, le SMIC à 1 600 € ; se battre contre la fermeture des usines, contre la situation des sans abris… Où est l’avenir pour les jeunes ? C’est pour cela qu’il faut combattre la politique de SARKO & de son gouvernement »

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lotoLa cellule du Charrel, organise un loto

Dimanche 7 mars 2010
de 14h à 18h
au Château Blanc, Quartier du Charrel, à Aubagne

Nombreux lots à gagner en 7 tours pour 4,50 euros le carton.
Venez nombreuses et nombreux !

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Dans le cadre de la campagne pour les élections régionales de mars prochain, nous publions dans nos colonnes les témoignages d'habitant-e-s d'Aubagne et des environs.

Aujourd'hui, Jean Marie Douville, nous explique ses raisons de voter pour le Front de gauche.

« Pourquoi en tant que syndicaliste hospitalier et membre du PCF j'appelle à voter pour le Front de gauche. Premièrement avec la réforme des territoires la région va avoir un rôle très important mais mon vote est aussi pour engager un véritable contre pouvoir face à la politique de casse de l'UMP. Il faut stopper la casse des services publics ETAT TERRITORIAUX HOSPITALIER et au contraire les renforcer pour répondre aux besoins de la population en respectant un juste cout. Il faut inverser cette logique de privatisation qui est destructrice pour l'emploi et les usagers car les exemples ne manquent pas après la privatisation les prix s'envolent. L'énergie, l'enseignement, la santé doivent rester public. Actuellement avec les hôpitaux de Paris nous assistons au plus grand plan social de France. Le gouvernement UMP veut ramener de 35 établissements à 12 sous prétexte de vouloir moderniser mais des établissement pourtant récents et performants sont voués à la fermeture. Qu'importe la population si elle doit faire des km, en plus l'objectif est le même partout à terme privatiser et l'hôpital d'Aubagne n'échappe pas à cette logique. Mon hôpital Ste-Marguerite est touché également pratiquement les 3/4 des services de ce qui était le 2ème CHU de MARSEILLE est démantelé et la majeur partie des services part sur l'hôpital Nord un peu sur Conception en attendant de regrouper la totalité des urgences et des blocs sur la Timone. Bien sur chaque service qui ouvre ailleurs le fait avec moins de lits donc service rendu moindre.
Il est plus que temps que le monde du travail ainsi que tous les jeunes qui eux aspirent à un avenir se fassent respecter en se déplaçant pour voter et le vote utile pour moi passe par le Front de gauche qui permettra de se recentrer sur l'humain et non la finance. »

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Dans le cadre de la campagne pour les élections régionales de mars prochain, nous publions dans nos colonnes les témoignages d'habitant-e-s d'Aubagne et des environs.

Aujourd'hui, Gérard Rouqueirol, habitant le quartier du Pin Vert, nous explique ses raisons de voter pour le Front de gauche.

« Quelle est la source de création des richesses ? C'est le travail humain. Or, en 20 ans, en France, 10 % des richesses créées par les salarié(e)s ont été détournés au profit du capital. Pour quel résultat ? Crises alimentaires, écologiques, baisse du pouvoir d’achat, 5 millions de chômeurs dont 1 million arrive en fin de droit en 2010, 3 millions 600 000 personnes mal logées, 400 000 personnes sans toit, dont certaines meurent dans la rue, de froid ou de faim, dans l’indifférence médiatique. La pression sur les salarié(e)s pour toujours plus de profit immédiat est telle que certains se suicident. Le capitalisme montre qu’il est incapable de mettre en œuvre un mode de développement durable et une politique de justice sociale qui permette aux individus de s’épanouir. C’est la raison pour laquelle je voterai et appellerai à voter Front de gauche aux élections régionales mais aussi pour la création d’un fonds régional d’investissement, pour l’emploi et un nouveau mode de développement social et écologique, pour la gratuité des transports publics régionaux afin de lutter contre la pollution et d’améliorer le pouvoir d’achat des personnes les plus démunies. »

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MEETINGGrand rassemblement régional du Front de gauche sur Marseille en présence des candidat-e-s et particulièrement de notre tête de liste Jean-Marc Coppola, mais aussi de Marie-Georges Buffet (PCF), Jean-Luc Mélenchon (PG) et Christian Picquet (Gauche Unitaire).

Mercredi 3 mars 2010
à partir de 19h
au Palais des Sports de Marseille

Un car est prévu au départ d'Aubagne. Contacter la section pour vous inscrire.

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logo_fdg_regionalesApéritif-débat de la cellule PCF du Charrel avec la participation de Bernadette CAILLOL, Karim GHENDOUF, Alain TARRINI candidats du Front de Gauche avec la participation de Jean TARDITO député-maire honoraire et Patrick CANDELA, secrétaire de la Section Communiste d’Aubagne.

Samedi 27 février
de 10h à 12h
au Château Blanc

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Dans le cadre de la campagne pour les élections régionales de mars prochain, nous publions dans nos colonnes les témoignages d'habitant-e-s d'Aubagne et des environs.

Aujourd'hui, Lucien Bettini, nous explique ses raisons de voter pour le Front de gauche.

« Né en 1929, j’ai connu un autre type de société en France où le peuple avait moins de droits. Avant 1936, mon père, comme la plupart des Français, ne croyait pas possible les congés payés (ne pas aller au travail pendant 2 semaines et être payé) et la réduction du temps de travail : 40 heures par semaine au lieu de 70 heures ! Le Front Populaire a montré, qu’avec des luttes, de tels acquis sociaux étaient possibles. Avant 1944, des citoyens dirigeant la Résistance créent un collectif pluraliste et progressiste, avec des communistes et des croyants, en lutte contre les occupants nazis, et élaborent un programme à l’unanimité, qui aurait paru complètement irréaliste à nos défenseurs du Medef actuel : il s’agissait du programme du Conseil National de la Résistance. La guerre terminée, dans un pays dévasté, de grandes conquêtes sociales furent mises en œuvre : la Sécurité Sociale, l’E.D.F., le statut de la Fonction publique, le système de retraite par répartition (à la place de celle par capitalisation). En 1944, les femmes votent pour la première fois en Corse libérée ! etc… et ce fût la période dite des « 30 glorieuses en France ». Aujourd’hui, tous ces acquis et d’autres sont remis en question par le pouvoir actuel qui veut peu à peu détruire le programme du Conseil National de la Résistance (C.N.R.). Ce sont les raisons pour lesquelles aujourd’hui je souhaite que le Front de gauche s’élargisse le plus possible et ne se limite pas à 3 organisations politiques… pour conserver nos acquis et gagner d’autres droits. »

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Dans le cadre de la campagne pour les élections régionales de mars prochain, nous publions dans nos colonnes les témoignages d'habitant-e-s d'Aubagne et des environs.

Aujourd'hui, Gérard COSTA, habitant du centre ville, nous explique ses raisons de voter pour le Front de gauche.

« Le boycott du Front de gauche par les principaux médias a une raison; ses solutions dérangent comme le non des Français en  2005 à la Constitution européenne avait indisposé à l'époque le complexe de la médiacrité (néologisme: médias, médiocres). Nous, Front de gauche, déplaisons au club du Fouquet's et les grands actionnaires (qui ont le pouvoir réel dans l'Europe de concurrence telle qu'elle se construit) ne se trompent pas dans la désignation implicite de leur ennemi principal ! La complaisance manifestée envers le PS voire à l'alliance écologique ou à Besancenot dans les principaux médias devrait nous éclairer sur l'insuffisance des propositions de ceux-ci pour changer réellement les conditions de vie des salariés et pensionnés de notre pays. Renforcer dans l'opinion et les urnes la force d'une gauche courageuse rassemblée et unitaire pour vraiment changer face à l'UMP et ses complices est une tâche urgente qui s'impose à tous. Tous ensemble pour une société solidaire non soumise aux intérêts de la finance, en avant avec le Front de gauche ! »

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