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La section d'Aubagne du Parti Communiste Français vous invite à participer à son loto qui aura lieu
Le samedi 8 février 2014
à partir de 15 heures, avec démarrage à 15 h 30 précises
au Cercle de l'Harmonie, Cours Beaumond à Aubagne.
Le prix du carton est fixé à 4 € 50
Sont prévus 8 tours + 2 quines et 7 lots par tour.
Les lots en jeu sont :
- paniers garnis
- filet déjeûner
- coffrets de vin
- jambons
- coffrets tradition provençale
- bons : apéritif, boucherie, fruits et légumes, pâtisserie, poissonnerie.
Venez nombreux, nous vous accueillerons avec le plus grand plaisir !
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Les salarié-es se mobilisent pour l’emploi, le pouvoir d’achat et les salaires, contre les politiques d’austérité et le pacte de responsabilité annoncé par François Hollande le 14 janvier. Le Front de gauche appelle les salarié-es, les sans-emploi et les retraité-es à soutenir ces manifestations et à y participer.
Notre section se joint à l'appel. Une manifestation est prévue
Le jeudi 6 février 2014
à Marseille
Des bus partiront à 9h de la La Tourtelle.
Renseignements et inscriptions à prendre à la CGT.
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Cher(e) camarade,
Tu es cordialement invité(e) à participer à l’assemblée générale extraordinaire des communistes habitant à Aubagne concernant les élections municipales de mars prochain qui aura lieu :
Le samedi 1er février 2014 à 9h30
au Lavoir du Pin Vert
Cette assemblée sera suivie d'un apéritif convivial et fraternel.
En espérant avoir le plaisir de te voir et de t’entendre ce samedi 1er février, je te fais part de toutes mes salutations fraternelles.
André DANCHESI, Secrétaire de la section d’Aubagne du PCF
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Licenciements, bas salaires, austérité
Les bouches du Rhône en ont assez !
L’austérité n’est pas une fatalité. D’autre solution sont possibles.
La victoire des salariés de la SNCM fait la démonstration que nous pouvons faire bouger les lignes.
Tous ensemble déterminés et unis pour l’emploi, le maintien et le développement de nos activités, de nos industries et du service public, pour la relance par les salaires.
Manifestation
samedi 18 janvier 2014
14h au vieux port
Organisations locales participantes : Union Locale CGT d’Aubagne, FSU aubagne, PCF section Aubagne, Ensemble Aubagne, Cercle de l’harmonie, les Amis de l’Huma d’aubagne
L’union locale CGT d’aubagne met des bus à disposition pour se rendre à la manifestation avec un départ à 13h aux services techniques de la Tourtelle
Inscription indispensable au 04 42 70 01 55 ou
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Cher(e)s ami(e)s,
Ce début d’année est marqué dans toute la France par les luttes des salariés pour maintenir l'activité économique dans leur secteur et préserver leurs emplois.
C'est dans ce contexte de combat contre les injustices et les inégalités sociales que vous êtes invité(e)s aux vœux de la Section d’Aubagne du P.C.F. le :
Vendredi 17 janvier 2014 à 18 h
au Cercle de l 'Harmonie, Cours Beaumond à Aubagne
Suivi d'un apéritif convivial et fraternel.
Les élections prochaines (municipales en mars, européennes en juin) seront déterminantes pour l'avenir de tous. Elles nécessitent l'engagement et l'implication de tous pour défendre les valeurs de Gauche et de progrès menacées par la finance.
En espérant avoir le plaisir de vous voir ce vendredi 17 janvier, je vous fais part de toutes mes salutations fraternelles.
André DANCHESI, secrétaire de la section du PCF
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Rolihlahla (faiseur de troubles en langue xhosa) Mandela, né le 18 juillet 1918 dans une hutte à Mvezo, village de la région du Transkei dans le sud-ouest de Johannesburg nous a quittés et nous nous sentons tous un peu orphelins. Mais Nelson Mandela n'appartient à personne et un peu à tout le monde. Les « Grands de la Planète » se pressaient dans un stade pour lui rendre un hommage unanime. Étaient- ils aussi nombreux lorsque Monsieur Mandela était derrière les barreaux et qu'un régime politique inique et abject lui refusait notamment d'assister aux funérailles de sa propre mère et de son propre fils. L'heure évidemment n'est pas aux polémiques, mais l'oubli serait impardonnable. « Pardonner, mais ne pas oublier ». Cet homme qui a dit lui-même qu'il avait commis des erreurs, qu'il n'était pas un prophète mais un serviteur du peuple s'est battu pour la réconciliation, la réconciliation entre les oppresseurs et les opprimés. Mais c'est un homme qui, à une période de sa vie, a fondé l' Umkhonto we Sizwe (« la lance de la Nation », le MK) la branche militaire de la lutte, prônant l'action armée et des actes de sabotage suite au massacre de Sharpeville le 21 mars 1960. C'était un révolutionnaire, proche du Parti Communiste Sud Africain fondé en 1921. Profitons-en pour rendre hommage au camarade Chris Hani, secrétaire général du PC sud-africain, assassiné par des militants d'extrême droite le 10 avril 1993, qui jouissait d'une grande popularité au sein de la jeunesse défavorisée des ghettos noirs. Mandela avait aussitôt dénoncé « un acte abject qui menace de conduire la nation tout entière au chaos » avant d'appeler au calme. Et n'oublions pas les exemples d'Olivier Tambo et de Steve Biko, et, bien au-delà, rendons hommage au peuple sud-africain, à toutes celles et ceux qui ont perdu la vie, aux enfants noirs de Soweto, à l'association féminine non violente « The Black Sash » (l'écharpe noire), fondée en 1955 pour protester contre les lois injustes et dont les membres étaient issues de la bourgeoisie blanche. N'oublions pas tant d'autres anonymes dont l'action et le courage étaient aussi importants que ceux de Nelson Mandela. En célébrant ce grand homme, ce sont l'humanité et la lutte incessante contre les injustices et les inégalités sociales à qui nous rendons hommage. « Toute ma vie je me suis consacré à la lutte pour le peuple africain. J'ai combattu contre la domination blanche et j'ai combattu contre la domination noire. J'ai choisi l'idéal d'une société libre et démocratique dans laquelle toutes les personnes vivraient ensemble en harmonie et avec les mêmes opportunités. C'est un idéal pour lequel j'espère vivre et agir. Mais, si besoin est, c'est un idéal pour lequel je suis prêt à mourir ».
Nous communistes avons soutenu Nelson Mandela dès la première heure, et nous nous sommes retrouvés souvent bien seuls. Mais, une fois de plus, nous avons démontré que nous étions dans le vrai, en combattant sans relâche toutes les formes d'exploitation, d'exclusion, de ségrégation et de discrimination.
Terminons sur ses paroles de Madiba prononcées le 1° novembre 2006 à Johannesburg, lorsqu'il reçut le titre d'ambassadeur de la conscience pour Amnesty International :
« (...) tant que l'injustice et l'inégalité perdureront, aucun d'entre nous ne pourra prendre de repos. Nous devons devenir plus forts encore. »
« Comme l'esclavage ou l'apartheid, la pauvreté n'est pas naturelle. Ce sont les hommes qui créent la pauvreté et la tolèrent, et ce sont des hommes qui la vaincront. »
« Vaincre la pauvreté n'est pas un geste de charité. C'est un acte de justice. Toute personne, partout dans le monde, a le droit de vivre dans la dignité, libre de toute crainte et de toute oppression, libérée de la faim et de la soif, et libre de s'exprimer et de s'associer comme elle l'entend. »
Aubagne a célébré ce mardi dans le bastion républicain qu'est le Cercle de l'Harmonie le grand monsieur que fût Nelson Mandela. Nous y étions.
André DANCHESI, secrétaire de la section d'Aubagne
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Des images de sa libération à ces Sud-Africains qui ont vu concrètement leur vie changer, un parcours de vie et un combat hors normes... Le héros d'une Afrique du Sud en mutation
Disparition. Héros de la lutte contre l’apartheid et des combats contre toutes les injustices, Nelson Mandela s’est éteint à l’âge de 95 ans. Partout dans le monde, l’émotion est considérable. Nelson Mandela, la mort d'un géant
Les Elus Front de Gauche, Communistes et Républicains de Marseille sont sous le choc et remplis de tristesse. Nelson Mandela s’en est allé. Communiqué de Frédéric Dutoit
Le journal de Jean Jaurès a initié puis pris toute sa part à la mobilisation politique pour la libération de Nelson Mandela et à l’abrogation de l’apartheid en Afrique du Sud. Lire la suite sur le site du journal l'Humanité.
Voilà ce que Mandela, lors de son premier voyage en France peu de temps après sa libération, disait à José Fort, journaliste à l'Humanité: «Je sais ce que l’Humanité a fait pour ma libération et pour faire connaître la lutte contre l’apartheid. Vous étiez le premier média en France à nous témoigner votre solidarité, vous êtes donc les premiers à qui je m’adresse en arrivant à Paris.» Sa main large et forte sur mon épaule rappelait une jeunesse tumultueuse sur les rings de boxe pour amateurs. Et lorsque nous lui demandions, comment devions-nous l’appeler, il répondit tout de go: «Et si vous m’appeliez camarade?»
Un hommage à Nelson Mandela sera rendu demain à Aubagne,
Le mardi 10 décembre
à 18 h 15 devant le Cercle de l'Harmonie, cours Beaumond
à l'appel de plusieurs organisations dont le PCF.
Vous êtes cordialement invité(e)s à nous rejoindre à ce rassemblement.
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Plus que jamais une réforme de la fiscalité est nécessaire en France. En deux ans, deux millions de contribuables supplémentaires ont été créés par le gouvernement Ayrault parce qu’il a continué dans l’ornière tracée par Sarkozy !
Ce mercredi matin, des militants communistes ont distribué des tracts sur ce thème devant le centre des impôts de Beaudinard et ont reçu le meilleur accueil.
Alors que la multinationale Total ne paie aucun impôt en France grâce à un système d’optimisation fiscale bien au point, au premier janvier la TVA passe de 19.6 à 20% et ce sont encore les ménages et les petites entreprises qui seront ponctionnés. Il y a eu 200 milliards d’exonérations fiscales et sociales en 2013 dans notre pays !
Et que dire des demi-parts fiscales des veuves supprimées par Sarkozy sur lesquelles Hollande n’est pas revenu , que dire du blocage des salaires et pensions, bref, que dire de plus sur la politique d’austérité dont tous les économistes sérieux (ceux qui ne squattent pas les antennes des médias en permanence et qui avaient prévu, eux, la crise de 2008) reconnaissent qu’elle n’améliore en rien les finances de l’Etat et ne réduit pas les déficits. Appauvrir les citoyens, réduire l’investissement, c’est aussi diminuer les ressources de l’Etat et aggraver le chômage.
Arrêtez de penser aux revenus des actionnaires, rappelez leur métier aux banques qui est de prêter, pas de spéculer, intéressez-vous à l’Industrie et à l’Agriculture qu’au non du laissez-faire libéral vous laissez plonger. Vouloir pour un gouvernement, c’est pouvoir. Et gouverner, c’est conserver la paix sociale même s’il faut s’opposer aux diktats de Bruxelles.