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Dès ce jeudi 31 mars 2016, la disparition de Michel a été connue et a rapidement fait le tour de son voisinage et de ses amis du quartier Ganteaume à Aubagne. Son état de santé depuis l'automne 2015 était alarmant et les multiples allers retours qu’il faisait depuis des mois entre l’Hôpital d’Aubagne et le V 80 n' avaient apporté aucune amélioration significative à son état de santé. Il avait 83 ans.
Il avait très tôt perdu l’usage d’un œil suite à blessure pendant la guerre et avait dû vivre avec ce handicap. Ces trois dernières années, il ne voyait quasiment plus et sortait difficilement de son domicile.
Tous ceux qui ont eu la chance de le connaître savent combien cet homme était courageux et d’une grande gentillesse. Il avait beaucoup de plaisir à échanger avec ses camarades et ses amis. Son vécu lui avait apporté des convictions inébranlables et une grande fidélité à la cause du progrès social et politique.
Michel a été de longues années employé municipal à Aubagne. Il avait travaillé depuis 1967 jusqu’à sa retraite aux services techniques et y avait laissé un bon souvenir.
Tant que ses forces le lui ont permis, il avait participé à toutes les campagnes électorales nationales, départementales et municipales de sa ville. Sa fidélité aux idéaux de sa jeunesse n’avait jamais été prise en défaut.
Il était membre de la section d’Aubagne du Parti Communiste Français et fidèle lecteur de l’Humanité et de la Marseillaise.
La section d’Aubagne du PCF présente ses plus sincères condoléances à notre camarade Denise, son épouse et à sa famille.
Pour lui rendre hommage, rendez-vous ce samedi 2 avril 2016 pour la levée du corps à l’Hôpital d’Aubagne à 9h30. Soyons-y nombreux.
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Un gouvernement digne de ce nom devrait (entre autres) s'attaquer au chômage et à la précarité qui ruine la vie des jeunes, à la fraude fiscale qui diminue les recettes de l'Etat. Il pourrait faire cesser le scandale des entreprises qui utilisent des travailleurs détachés d'une manière déloyale contre ceux qui vivent et travaillent en France. Il pourrait donner du pouvoir d'achat aux salariés et pensionnés qui en manquent cruellement.
Mais le gouvernement actuel a d'autres préoccupations. Ayant fait sien le cahier de revendications élaboré par les avocats d'affaires du MEDEF, Hollande et Valls essaient de le mettre en application.
Le Code du travail étant proclamé illisible, ils veulent lui substituer une multitude de codes du travail qui dépendraient de chaque entreprise et de la négociation entre direction et salariés. Les accords collectifs ( commerce, métallurgie, transports) ne pourraient plus s'imposer aux entreprises de la branche comme maintenant. Attaquer la hiérarchie des normes en privilégiant un droit du travail pour chaque entreprise et non pour toutes les entreprises, c'est remettre en cause fondamentalement le principe même de code du travail.
Donc selon le rapport des forces entre salariés et direction, on verrait chez certaines entreprises les heures supplémentaires payées 10 % ou pas du tout au lieu du taux actuel de 25%, chez les autres la semaine de travail dépasserait en nombre d'heures le cadre actuel des 35 heures. Tout dépendrait des accords dans les entreprises. L'idéologie libérale feint d'ignorer l'inégalité fondamentale entre salariés et patronat. Ses partisans qui s'expriment à longueur d'antenne dans les médias et dans la presse d'argent essaient de nous faire croire que nous vivons dans un monde idéal de bisounours. Tous les mécanismes introduits par l'Histoire pour compenser cette inégalité salariés patronat et redonner un peu de pouvoir aux salariés, dans l'intérêt même du vivre ensemble et du progrès humain, tout ce que nos anciens avaient mis en place devrait, selon eux, être supprimé. Supprimé sur l'autel du dieu Marché au nom de la concurrence libre et non faussée.
Il est donc important de dire non à cette dérive libérale qui loin d'inverser la courbe du chômage ne satisfait en fait que les actionnaires et pousse de plus en plus de travailleurs vers la misère et pour certains vers la rue.
C'était l'enjeu de la journée nationale d'action du 31 mars. Elle a été une grande réussite. Une étape positive a été franchie dans le processus qui finira par forcer les apprentis sorciers à reculer et à renoncer à leurs projets rétrogrades.
Cette loi " travail ", nous n'en voulons pas ! Il faut obtenir le retrait de ce texte !
Soyons nombreux à nous mobiliser pour sauver notre peuple et notre jeunesse de l'abîme dans lequel Hollande et Valls veulent les plonger ! De nouveaux rendez-vous sont d'ores et déjà annoncés ! Nous y serons !
Oeuvrons pour une alternative à ce pouvoir rétrograde et sans honneur. Il faut la construire tous ensemble contre la droite, l'extrême droite et le gouvernement prétendu socialiste !
Le congrès des communistes va nous permettre de définir comment parvenir au changement nécessaire. Pour les communistes aubagnais, une assemblée générale importante aura lieu le 16 avril. Nous vous en reparlerons.
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Début de citation
Le Comité Exécutif de la section d’Aubagne (Bouches du Rhône) s’est réuni le jeudi 10 mars 2016. Les représentants des communistes aubagnais se prononcent pour participer au mouvement des salariés, des chômeurs et des jeunes contre la politique générale menée par le gouvernement Valls et Hollande avec son développement récent de casse massive du Code du travail et des droits sociaux de tous les travailleurs.
Le Comité Exécutif du PCF d’Aubagne refuse l’idée d’élections « primaires de la gauche » pour les élections présidentielles de 2 017.
Opter pour des "primaires à gauche" revient à s’engager une nouvelle fois dans une stratégie au final "socialo dépendante". Elle risque d’assimiler les communistes à cette "gauche" qui n’en est plus une depuis longtemps déjà.
Accepter la « primaire de gauche », c’est réduire la politique à une sorte de campagne électorale orchestrée par des médias contrôlés par les puissances financières. N’oublions pas que Hollande avait gagné la dernière primaire socialiste sur un programme flou. Nous voyons ce que cela donne maintenant. Les votants aux primaires ne sont pas représentatifs de la société française (plus aisés, plus urbains, etc).
Accepter cette pseudo-démocratie d’opinion accentue la personnalisation outrancière et le présidentialisme, les postures au détriment des contenus et de la bataille idéologique. Elle mobilise inutilement les militants alors que la colère sociale gronde et s’amplifie. Elle nous éloigne de la 6° République à laquelle nous aspirons.
Cette opération revient de fait à dédouaner une partie du Parti socialiste de son soutien à la politique d’austérité et à la remise en cause des acquis sociaux. A oublier sa soumission aux exigences du MEDEF, à son alignement à la politique ultra-capitaliste des Institutions européennes.
Il est donc hors de question pour nous de cautionner ou d’organiser une primaire à laquelle nous n’adhérons pas.
La volonté de casse du droit du travail n’est pas sans relation avec les accords commerciaux avec le Canada et les négociations du traité TAFTA qui instaurent la soumission aux multinationales, notamment américaines. La social - démocratie au parlement européen organise cette soumission aux multinationales.
Dès lors, comment peut-on imaginer qu’un projet commun pour transformer notre société, la libérer du joug de la logique du capital puisse être élaboré avec des partisans « du tout marché », services publics compris ? Il est illusoire d’attendre des frondeurs du PS et des ex-Ministres une remise en cause de la politique européenne d’austérité et des Institutions européennes technocratiques en place.
Face à la gravité de la crise sociale, politique et économique, Il est décisif de redonner de l’espoir aux jeunes, aux 6 millions de chômeurs, à tous les travailleurs en leur montrant qu’une alternative est possible à la politique ultra capitaliste de la droite, de l’extrême droite et du PS.
Nous pensons que l’urgence est de rassembler rapidement toutes les composantes de la Gauche anti - capitaliste (associations de citoyens, les partis de gauche anti - capitalistes, les syndicats…) comme nous avons réussi à le faire lors des élections présidentielles de 2012. L’outil « Front de Gauche » existe toujours. Il aspire à rompre avec le capitalisme financier mondialisé qui asservit et pille les peuples.
Il faut que le Parti Communiste Français le réactive rapidement autour du programme « L’Humain d’Abord » qu’il convient de réactualiser et d’améliorer en organisant de multiples réunions avec les citoyens.
Il est impératif de redonner du dynamisme au Front de Gauche, de montrer que le PCF et ses militants participent au mouvement social actuel. C’est pourquoi nous devons proposer à nos citoyen(ne)s la perspective d’une société du partage, écologiste, démocratique.
Ne pas cacher que des nationalisations avec gestion démocratique sont nécessaires dans les principaux secteurs économiques et les banques pour résoudre les problèmes de croissance et d’emploi.
Se prononcer pour une augmentation générale des salaires et des pensions.
Aider résolument le mouvement coopératif et les PME agricoles, artisanales ou industrielles contre les multinationales et leurs produits bas de gamme.
Remettre en cause le carcan austéritaire et technocratique européen dont le seul objectif est la monopolisation des richesses au service des multinationales et de leurs actionnaires.
Lutter pour la paix dans le monde et le droit des femmes.
Notre lettre est l’expression de la réflexion des camarades du Comité Exécutif de la section. Nous avons l’espoir que la Direction nationale du parti saura l’intégrer aux objectifs en cours.
Fin de citation
L'assemblée générale de la section aura lieu le 16 avril prochain . Il sera débattu de ce que veulent les communistes au plan local, régional et national.
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Nous venons d’apprendre avec beaucoup de peine le décès de notre camarade Gérard LAIK, survenu jeudi matin, le 17 mars. Il était âgé de 76 ans et était vétéran de notre Parti.
Gérard avait fini sa carrière professionnelle au Lycée Joliot Curie où il enseignait les Sciences et Vie de la Terre. Tous ceux qui l’ont eu comme professeur dans cet établissement ont le souvenir d’un homme brillant qui savait faire aimer la biologie qu’il enseignait. Il a d’ailleurs été à l’origine de beaucoup de vocations de jeunes dans cette spécialité.
Gérard était un grand humaniste et un homme de grande culture, membre de l’association culturelle Spect’acteurs depuis de nombreuses années.
Citoyen de premier plan et militant communiste de grande valeur, il fût conseiller municipal adjoint à la Culture dans les municipalités dirigées par Jean TARDITO et Daniel FONTAINE. Aussi dévoué et engagé dans ses responsabilités d’élu qu’il avait été impliqué dans son travail d’enseignant dans le secondaire.
On l’avait surnommé d’une manière humoristique le ministre de la Culture d’Aubagne. L’hommage était mérité.
Il lui avait été confié dans sa dernière charge élective la difficile animation du Cœur de ville, responsabilité extrêmement délicate qu’il avait assumée avec brio.
Il nous laisse l’image d’un homme très attachant, alerte intellectuellement avec une très grande qualité d’écoute.
Nous nous souvenons de son dévouement citoyen au service des Aubagnais et des innombrables heures qu’il a faites dans l’accomplissement de son travail d’élu et des présidences qu’il a assurées dans les bureaux de vote.
La section d’Aubagne du Parti Communiste Français présente à son épouse notre camarade Edmée, à ses fils Laurent et Pierre ainsi qu’à toute sa famille ses plus sincères condoléances.
Gérard pourra être accompagné à sa dernière demeure au cimetière des Passons le mardi 22 mars 2016 à 10 heures 30.
Soyons nombreux à ce dernier rendez-vous avec ce grand citoyen d’Aubagne !
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L’espace des solidarités Ambroise Croizat à Aubagne qui venait de fêter ses 3 ans va changer d’affectation.
On se souvient que les locaux de l’ancienne caserne des pompiers avaient été rénovés et mis à la disposition des Restos du cœur et du Secours Populaire Français le 12 février 2013. Opération conduite par la municipalité Fontaine et financée à 80 % par le conseil général de l’époque qui avait mis 500 mètres carrés à disposition de ces deux structures et de leur centaine de bénévoles.
C’était une reconnaissance et une aide pour leur mission de soulager la misère de nos concitoyens les plus défavorisés (accueil, aides diverses, cours d’alphabétisation, 150 000 repas servis par an, etc.) Faut-il rappeler qu’à Aubagne la misère existe et que 80 personnes au moins vivent dans la rue ?
Le système de vidéosurveillance à mettre en service dans Aubagne a besoin de locaux. Les volumes du Centre Communal d’action sociale ayant été choisis pour faire place au centre de pilotage, il a été décidé que le CCAS irait à Ambroise Croizat .
Si la solidarité était pour la droite aubagnaise une valeur secondaire à réduire au profit de la surveillance d’autrui, il n’en irait pas autrement.
En attendant, les bénévoles ont été priés de déménager avant le 1° septembre 2016.
Les 800 familles accueillies par le SPF et les 400 familles aidées par les Restos du Cœur ont du souci à se faire. Elles savent au moins qui elles doivent remercier de tout ce chambardement. Il n’est pas sûr qu’elles sourient devant les nouvelles caméras municipales !
Les communistes sont de tout cœur aux côtés de nos citoyens en difficulté et des bénévoles qui les aident.
PS : nous avons déjà dit ce que nous pensions de la vidéosurveillance. Voir nos vœux du 17 janvier 2016. Je cite :
« Nous devons lutter contre la mise en place à Aubagne de tout ce qui nuit à la partie défavorisée de la population et aux classes moyennes, contre le système de vidéosurveillance qui ne sert qu'à découvrir les coupables après que les actes de délinquance ont été commis. Tout cela ne remplace pas la prévention, l'éducation et de bons effectifs de police. »
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Les usagers du parking SNCF de la gare d'Aubagne, habitués à garer leur voiture gratuitement depuis des décennies, ont eu une mauvaise surprise en début de semaine. Ils auront désormais 3.50 euros de plus par jour à comptabiliser dans leurs frais de transport.
Il s'agit d'une décision unilatérale de la municipalité d'Aubagne. Encaisser des péages sur un parking situé sur un terrain qui n'est pas le sien, puisqu'il s'agit d'une emprise SNCF, il fallait le faire. Ils l'ont fait ! Aucune convention n'existe actuellement entre la SNCF et la Ville d'Aubagne concernant ce parking.
La précédente Municipalité avait décidé de favoriser les transports collectifs en les rendant gratuits et en laissant sans péage les parkings donnant accès à la gare SNCF d'Aubagne ou au tramway.
Ce n'est pas l'orientation de l'actuelle Municipalité qui, s'étant engagée dans des frais de vidéosurveillance importants, ne sait pas comment récupérer de l'argent : les bornes de péages ont tendance à remplacer les arbres dans la ville.
Le moins qu'on puisse dire de cette décision prise en l'absence d'un tram ou d'un tram train desservant La Bouilladisse, La Destrousse, Auriol et Roquevaire ainsi qu' Aubagne Nord , c'est qu'elle n'est pas judicieuse.
Décourager les usagers du TER d'accéder au parking de la gare , c'est les encourager à prendre leur voiture jusqu'à Marseille ! Les recommandations de la récente COP 21 pour réduire les gaz à effet de serre ne sont absolument pas prises en compte !.
Il reste aux citoyens à demander soit directement soit par voie de pétitions au Maire d'Aubagne de revenir sur sa décision.
Les communistes sont avec les usagers. Ils les encouragent à signer les pétitions en cours pour revenir à la gratuité et ramener la municipalité d'Aubagne à la raison !
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Les syndicats CGT de l’Union Locale d’Aubagne ainsi que les organisations aubagnaises de MS 21, PCF, Ensemble, FSU, ATTAC, Oli Mazi, Activistes et citoyens, les Amis de l’Huma, le Repaire, expriment leur profonde indignation et leur colère suite à la condamnation des 8 ex-salariés Goodyear à 24 mois de prison dont 9 mois fermes.
Dans le cadre d’un conflit social, où les salariés étaient engagés contre la casse de 1173 emplois, luttant pour leur dignité et le devenir social de leur famille, un accord de fin de conflit avait été signé entre la direction de Goodyear et le syndicat majoritaire de l’entreprise. Cet accord, conclu après une bataille de 7 ans, actait entre autres, l’arrêt de toutes les poursuites judiciaires contre les militants syndicaux.
C’est donc le Procureur de la république, qui a décidé de poursuivre l’action judiciaire. Ce qui donne à cette condamnation un caractère politique.
Dans un contexte d’état d’urgence, cette loi d’exception est parfois détournée pour tenter de faire taire tout le mouvement social !
Des militants écologistes sont assignés à résidence, des militants d’ATTAC Marseille sont poursuivis pour avoir ponctionné des chaises à la BNP !
Cette attaque contre des militants syndicaux, est un nouveau très mauvais signe.
Il est inacceptable qu’un pays qui a manifesté pour la liberté d’expression le 11 janvier 2015 voit condamner, un an après, des syndicalistes dans le cadre de leur activité.
Des militants qui se font les porte-voix de la défense des libertés syndicales et démocratiques, des combats pour l’égalité et la justice sociale, n’ont pas à être traités comme des délinquants !.
La criminalisation de l’action syndicale ne doit pas se banaliser, tout comme les attaques que subissent les organisations, notamment par la suppression de leurs moyens de fonctionnement et des Bourses du travail dans les collectivités.
Faire du souci de l’économie budgétaire et de la sécurité une arme contre notre liberté serait entrer dans des chemins bien obscurs, que nous refusons.
Pour alerter la population, soutenir et rassembler le plus grand nombre pour la relaxe des 8 ex-salariés de Goodyear mais plus largement pour défendre les libertés syndicales et d’expression, les syndicats CGT de l’Union Locale d’Aubagne rejoints par les organisations FSU, le PCF, Les amis de l’Huma, Attac, Ensemble, le Repaire d’aubagne, Oli Mazi créent un comité de soutien local.
Ils appellent les salariés, les retraités, les jeunes, les organisations associatives, politiques progressistes à adhérer, à signer la pétition afin d’agir localement et nationalement pour la relaxe des Goodyear, défendre ses droits n’est pas un crime !
Pétition : l’appel des goodyear sur change.org
Pour écrire au comite de soutien Aubagne, cliquer ici.
Adresse : Bourse du travail, Cours Beaumond, 13400 Aubagne
Actions sur le marché d’Aubagne le 27 février 2016 de 10h à 12h
et sur le marché d’AURIOL le 5 mars 2016 de 10h à 12h
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Dès ce jeudi 11 février 2016, la nouvelle du décès d’Henri a rapidement fait le tour de ses amis. Son état de santé ces dernières années ne lui permettait pas de sortir et d’avoir une vie sociale.
Ecrire avec de simples mots ce que l’on ressent après son décès n’est pas facile. Tous ceux qui ont eu la chance de le connaître savent combien cet homme était courageux et d’une grande gentillesse.
Né le 13 mai 1929, Henri entre dès le début des années 1950 à la RATVM, réseau autonome des transports de la ville de Marseille. Henri a beaucoup donné de son temps à ses collègues de travail en devenant délégué syndical CGT, qu’il restera jusqu’à son départ de l’entreprise en 1970 pour invalidité consécutive à des accidents de travail. Après la RTM, il fût artisan (garagiste) puis commerçant dans le pays d’Aubagne.
En plus de la CGT de la RTM qu’il ne quittera jamais puisqu’il restera syndiqué chez les retraités jusqu’à aujourd’hui, il a toujours été membre du Cercle de l’Harmonie à Aubagne et membre de la section d’Aubagne du Parti Communiste Français.
La section d’Aubagne du PCF présente ses plus sincères condoléances à notre camarade Georgette, son épouse, à ses enfants Richard et Joël, à ses petits enfants, sans oublier son frère Jean RENAUDIER, ancien adjoint au maire de la municipalité Garcin ainsi que sa belle-sœur Christiane.
Il est venu le temps de l’honorer et de lui rendre hommage.
Rendez-vous ce samedi 13 février à 14h30 au cimetière des Passons à Aubagne.
Soyons-y nombreux.